Accords gourmands # Bourgogne-Aligoté
Hello les Épicuriens
Nous allons parler de l’accord avec un SEUL VIN
“BOURGOGNE – ALIGOTÉ” un vin blanc fruité et léger qui s’accorde parfaitement avec des plats simple de l’entre au dessert.
le Bourgogne -aligoté doit sa célébrité au kir du nom de “chanoine” maire de Dijon qui avait l’habitude recevoir ses hôtes avec un aligoté et crème de cassis.
Service :
Température de service: autour de 8°C À Servir en seau avec glace tenez-le au frais tout au long du repas quitte à rajouter des glaçons dans le seau, sinon il risque de s’affadir.
Accord gourmands
le Bourgogne -Aligoté est un vin simple qui n’aime ni les complications, ni les ingrédients trop puissants, ni les préparations trop alambiquées.
il est le compagnon idéal des repas d’été.
#friture de poisson: avec son acidité ,il dégraisse les petits poissons.
préparations poisson de rivière ou de mer mais peu iodés: son côte fruit frais et légèrement agrume du vin est à exploiter.
charcuterie blanches ,viande blanche simplement rôties ou en sauce très légère:
la légèreté du vin respecte la délicatesse de ces mets.
Apéritif :
Vous pouvez préparer un kir cassis avec le Bourgogne-Aligoté
@avec des toast crevette
Entrée:
@ salade de poulet frais pimenté une véritable explosion du piment et la fraîcheur du vin.
Plat:
@Crevette sautée au gingembre & frite de patate douce
Au-delà de leurs différences culturelles crevettes et aligoté trouvent un terrain d’entente universel: crustacés /vin blanc fruité sont un grand classique partout dans le monde.
Quand à la patate douce qui accompagne la crevette le Bourgogne bien droit dans ses sabots ,il s’en accommode parfaitement.
Gourmandises:
Ces petites choses qui fondent ,adoucissent et parfument la bouche
@une tartelette de Mangue avec un coulis de caramel
Vous trouverez la référence Bourgogne -Aligoté dans la rubrique boutique
Bonne Dégustation
Marie louise Ticki Normand
Accord met/vin spécial Pâques : Les chocolats
Fête chrétienne célébrant la résurrection du Christ, Pâques marque aussi la fin du long jeûne de carême. Et à cause de cela a toujours donné lieu à des réjouissances plus ou moins gourmandes, mais toujours chargées de symboles : ainsi, la fameuse omelette pascale devait être autrefois confectionnée avec des oeufs pondus le vendredi saint. Bientôt plus quotidiens, les oeufs de poule cédèrent alors leur statut d'exception à un nouveau venu : le chocolat. Charlotte, bavarois, marquise, mousse ou profiteroles, point de dimanche pascal sans un dessert au chocolat. Son goût puissant, sa richesse en matières grasses et en sucre, sa persistance gustative s'achevant sur une certaine amertume, appellent un vin moelleux, de grande structure, avec une finale légèrement acidulée. Pourtant classique, le champagne est à éviter : trop sec et pas assez robuste. Je suggère plutôt des vins mutés, dont la fermentation naturelle a été arrêtée par adjonction d'alcool neutre, ce qui permet de conserver une certaine proportion de sucres naturels.
Accord mets/vins : Quel vin boire avec une crème caramel ?
On la croit banale parce qu'elle est courante sur nos tables, y compris dans les plus simples de nos bistrots. En réalité, la crème caramel – dite aussi "crème brûlée" quand on use d'un chalumeau ou d'un fer porté au rouge pour brunir le caramel – est un dessert particulièrement riche : des jaunes d'oeufs, de la crème fleurette, du sucre semoule, de la vanille gorgée de parfum et de saveur, il y a là pour le vin un véritable challenge. Car si la crème et les oeufs apportent une sensation de gras, la caramélisation du sucre va accentuer la perception de douceur tout en ajoutant une touche de toffee à l'anglaise. On évitera évidemment tous les vins rouges : leurs tanins seraient ici particulièrement importuns. Mais on écartera tout aussi résolument tous les blancs secs : pour tenir tête au plat en persistance et en intensité, il faut au contraire des vins moelleux, riches en personnalité et en sucres résiduels, d'une certaine extravagance au nez et d'une réelle intensité en bouche.
Accord mets/vins : Que boire avec… des sushis ?
Qui dira jamais tout ce que la découverte gastronomique doit au développement des transports ? On pourrait mettre en parallèle les routes qui mènent vers des vacances de plus en plus lointaines, et celles qui en rapportent des produits de plus en plus exotiques. Aujourd'hui, la vogue est à la pureté diététique : riz cuit immaculé, poisson cru (dorade, maquereau, saumon, thon, crevettes…), saveurs basiques, sauces végétales, le sushi s'infiltre dans tous les quartiers. Faut-il pour autant continuer de ne le marier qu'au thé ou au saké ?
Accord mets/vins : Que boire avec… une gratinée à l’oignon ?
Si le succès planétaire d'Astérix doit presque tout à l'humour de Goscinny et au crayon d'Uderzo, on ne saurait ignorer la rigueur historique qu'ils se sont imposée pour chacun de leurs albums. Ainsi, dans Astérix en Hispanie (1969), dont l'intrigue se déroule en 45 avant notre ère, le chef du petit village ibère qui, lui aussi, "résiste à l'envahisseur" se nomme Soupalognon y Crouton. Vérité même au-delà des Pyrénées : à cette époque effectivement, on se régalait déjà de soupe à l'oignon dans les armées romaines, et même dans les villas patriciennes. À la fois légume et condiment, l'oignon a été apprécié depuis la nuit des temps : les Chinois en avaient fait le symbole de l'intelligence et de la longévité, les Chaldéens voyaient en lui une potion magique, et les Égyptiens en emportaient dans leur tombe en vue du dernier voyage. Très populaire au Moyen Âge, il tomba chez nous en désuétude à la Renaissance, dont les raffinements s'accommodaient mal de son odeur forte. On commence à peine de redécouvrir ses immenses qualités médicinales : peu calorique, antioxydant, riche en sels minéraux rares (sélénium, cobalt, molybdène), diurétique, antibiotique, excellent contre le diabète et les affections cardio-vasculaires, il aromatise de surcroît tous les régimes fades et tristes.
Que boire avec du reblochon ?
En 2018, l’AOP Reblochon a fêté ses 60 ans d’existence ! L’un des fromages préférés des Français se taille une place de choix sur le fameux et incontournable « plateau ». Et pour cause, sa texture crémeuse et ses notes fines de noisette sont irrésistibles, surtout quand elles sont mises en valeur par un vin minutieusement sélectionné…
Que boire avec une fondue savoyarde ?
Abondance-Beaufort-Emmental ou Comté-Emmental-Beaufort, au choix ! Les fromages qui composent la savoureuse fondue ont en commun leur goût salé affirmé, leur gras et leur complexité aromatique. Pour accompagner ces différents trios fromagers, il est préférable de se tourner vers des vins blancs opulents qui viendront tempérer le "feu" salé du plat. L’exubérance aromatique de certains vins blancs secs qui évoquent l’abricot, la pomme ou l’ananas, est également la bienvenue pour rafraîchir la bouche.
Que boire avec la tartiflette ?
À base de pommes de terre, de lardons, d’oignons, de crème et de reblochon, la tartiflette est une spécialité savoyarde complète et rassasiante. En hiver, elle s’invite au menu des skieurs et des gourmands. Fermier – à la saveur affirmée et à la texture onctueuse – ou laitier, plus doux, le reblochon de Savoie qui donne à la tartiflette son tempérament fromager nécessite un accord bien équilibré.
Vins et fromages de montagne : les meilleurs accords
« Lorsqu’on arrive au moment du fromage, le palais a déjà beaucoup travaillé au cours du repas. Les vins blancs, vifs et frais, lui redonnent un « coup de fouet » avant de passer au dessert », commence Antoine-Marie Bourlier, Chef-sommelier au restaurant La Bouitte (3 étoiles au Guide Michelin) en Savoie. « Le vin blanc se prête particulièrement bien aux associations avec le fromage car il est capable de jouer sur tous les registres. Il tempère le caractère salé des pâtes dures, apporte de la fraîcheur et de la minéralité aux tommes ou accompagne le côté crémeux d’un reblochon, par exemple », poursuit-il.
Que boire avec une raclette ?
Le fromage, la charcuterie et les pommes de terre qui composent la célèbre raclette ont pour éléments dominants : la richesse et le gras. "Pour les mettre en valeur, j’opterais pour un Chignin-Bergeron "Comme avant" de Jean-François Quénard", propose Grégory Delechat chef et propriétaire de l’hôtel-restaurant Crychar aux Gets. "Plutôt gras et long en bouche, ce vin a des notes d’abricots qui se marient bien avec le fromage de la raclette. L’opulence du cru répond, en écho, à celle du plat", explique-t-il pour présenter l’accord.